ÉDITO. Gabriel Attal ou l’obsession de l’autorité

Un exercice rodé qui souligne aussi les deux limites auxquelles il se heurte au bout de 100 jours à Matignon.

Mais cette seule facette suffit-elle à façonner l’identité d’un Premier ministre ?

C’est aussi la mission qui lui a été assignée lors de sa nomination.

Beaucoup dans la majorité considéraient alors que Gabriel Attal représentait l’arme anti-Bardella par excellence.

Jeudi prochain, c’est d’ailleurs Emmanuel Macron qui se retrouvera, de fait, en première ligne en prononçant, un grand discours sur l’Europe à la Sorbonne.

Une débâcle risquerait au contraire de fragiliser, voire d’écourter, son bail à Matignon.

Back to 365NEWSX