Des éruptions des étoiles à neutrons sont 10 à 100 fois plus violentes qu'on ne le pensait - Futura

Il s'agit des étoiles à neutrons dont l'existence n'a d'abord été découverte qu'avec celle des pulsars en 1967.

Encore aujourd'hui, c'est la conjonction de ces deux fenêtres observationnelles dans deux bandes du spectre électromagnétique qui permet en premier lieu d'étudier les étoiles à neutrons.

Un début de présentation de l'histoire de la théorie des étoiles à neutrons.

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Walter Baade et Fritz Zwicky comprennent surtout que certaines supernovae sont des explosions gigantesques accompagnant l'effondrement gravitationnel d'étoiles qui vont devenir des étoiles à neutrons.

Les lois de la physique imposant la conservation du moment cinétique et du flux magnétique, l'étoile à neutrons, en fin d'effondrement après l'explosion en supernova SN II de son étoile génitrice, sera en rotation très rapide et avec un champ magnétique très amplifié.

Un complément d'informations sur les étoiles à neutrons.

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Pour un observateur fixe à la surface d'une étoile à neutrons et même dans ses profondeurs, son mouvement de rotation dans un champ magnétique le conduit à mesurer un champ électrique.

Ce champ électrique va donc accélérer les ions et les électrons en surface de l'étoile à neutrons qui se comportent comme un conducteur.

Les étoiles à neutrons sont très denses, ce qui veut dire que leur description nécessite d'utiliser les équations de la relativité générale, contrairement aux étoiles classiques.

L'état de la matière au cœur d'une étoile à neutrons nécessite également pour être compris d'utiliser quasiment tout le reste de la physique, en particulier la physique nucléaire et des particules.

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L'étoile à neutrons y tourne sur elle-même 30 fois par seconde et aux longueurs d'ondes des rayons X et radio, elle est parmi les pulsars les plus brillants du ciel.

Le mécanisme derrière ces émissions conjointes n'est pas encore clair mais comme l'explique la vidéo de la Nasa ci-dessus, cette découverte pourrait nous aider à mieux comprendre certains sursauts radio rapides dont on sait que certains au moins sont associés à des étoiles à neutrons.

Lorsque de la matière tombe sur une étoile à neutrons, elle peut émettre un flash de rayons X extrêmement puissant.

Une étoile à neutrons, un pulsar accrétant de la matière issue de son étoile compagne.

Le signal que la communauté scientifique attendait pour braquer sur cette étoile à neutrons, ce pulsar surveillé de près depuis sa découverte en 1996, pas moins de sept instruments différents.

Rappelons qu'une étoile à neutrons, un pulsar, est un astre mort qui se refroidit irrémédiablement.

Mais les étoiles à neutrons sont tellement compactes et tournent tellement vite sur elles-mêmes qu'elles ont tendance à aspirer la matière qui constitue leur compagne...

Mais, lorsque cette matière entre finalement en collision avec l'étoile à neutrons, cette dernière émet un sursaut de rayons X, résultat d'un emballement thermonucléaire à la surface de l'étoile.

« Observer le phénomène avec plusieurs télescopes sensibles à différentes longueurs d'onde nous a montré que l'activité initiale s'est produite à proximité de l'étoile compagne, sur les bords extérieurs du disque d’accrétion, commente Adelle Goodwin, astronome à l'université Monash (Australie), dans un communiqué. Il aurait fallu ensuite douze jours pour que la matière s'enroule en spirale jusqu'à l'étoile à neutrons et produisent des rayons X. ».

Un flash issu d'un pulsar situé à quelque 11.000 années-lumière de notre Terre.

Grâce à Nicer, la Nasa a enregistré un flash de rayons X d’une incroyable intensité.

La mission de Nicer -- l'acronyme pour Neutron Star Interior Composition Explorer -- est d'étudier la structure interne des étoiles à neutrons.

Les astronomes recherchent l'étoile à neutrons ou le trou noir qui pourrait en être l'auteur.

L'apparition d'une nova à rayons X a été observée le 17 octobre par l'instrument japonais Maxi, installé à bord de l'ISS!

Maxi (Monitor of All-Sky X-Ray Image) est un détecteur de rayons X, installé à bord de la Station spatiale internationale (ISS) en juin 2009 par la mission de maintenance STS-127

Selon David Burrows, professeur au Penn State College et responsable du télescope Swift, l'émission de rayons X observée est probablement provoquée par une étoile à neutrons ou un trou noir qui arrache épisodiquement de la matière à une étoile massive à proximité

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