Avec une différence selon les deux vagues : «En mars-avril, les régions les plus concernées ont été l’Ile-de-France et le Grand-Est avec des excédents de mortalité respectivement de +90% et +55% par rapport à la même période de 2019
Dans le détail, cet excédent de mortalité résulte premièrement d’une baisse de la mortalité en janvier et février 2020, car «la grippe saisonnière a notamment provoqué une surmortalité moindre que les années passées : 7 500 décès en moins ont eu lieu en janvier et février 2020 par rapport à la même période de 2019», deuxièmement «d’un excédent de mortalité de 27 300 personnes (+27%) entre le 1er mars et le 30 avril 2020 par rapport à la même période de 2019», et enfin «d’un très léger excédent de mortalité entre le 1er mai et le 31 août 2020 (+1 100 décès) ; d’un excédent de mortalité de 33 000 personnes (+16%) entre le 1er septembre et le 31 décembre»
Pour rappel, afin d’étudier au mieux cette surmortalité, l’Insee recommande de se pencher sur les fichiers de décès quotidiens
Selon ces fichiers, «lors de la première vague, le nombre moyen de décès quotidiens avait augmenté de 25% entre la première et la deuxième quinzaine de mars pour atteindre un pic de 2 810 au 1er avril
[…] Lors de la deuxième vague, le nombre moyen de décès quotidiens a augmenté de 15% entre la première et la deuxième quinzaine d’octobre puis de 13% au cours de la première quinzaine de novembre
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publiée le 15.01.2021
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publiée le 14.01.2021
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