Le candidat a seulement publié un communiqué sur les réseaux sociaux, dans lequel il regrette d’être condamné pour un «délit d’opinion».
«C’est la condamnation d’un esprit libre par un système judiciaire envahi par les idéologues», tance le polémiste d’extrême droite.
Zemmour vient d’être condamné après ses propos abjects contre les mineurs étrangers isolés.
Ce n’est pas la première fois que le candidat à l’investiture suprême est condamné par un tribunal.
Déroulant à longueur de meetings et d’interviews son obsession du «grand remplacement», une théorie d’extrême droite qui a inspiré plusieurs terroristes suprémacistes, Zemmour charge également violemment les juges et le système judiciaire en général.
Le candidat d’extrême droite passera de nouveau devant un tribunal, jeudi, pour contestation de crime contre l’humanité : en octobre 2019, toujours sur CNews, il avait soutenu que le maréchal Philippe Pétain avait «sauvé» les juifs français