« Dans les surveillances qui ont été mises en place », suite aux premières émeutes de novembre, « nous avons compris qu’il était question d’un partage des rôles », notamment des gangs de Baie-Mahault, de Pointe-à-Pitre et de Grand-Camp (aux Abymes, ndlr).
Ce jour-là, la manifestation contre l’obligation vaccinale devait arriver jusqu’à l’aéroport, « avec un mode opératoire déterminé entre manifestants et membres de gangs, qui eux devaient occuper les pistes avec des véhicules volés » et enflammés.
Si la « bataille idéologique » et l’obligation vaccinale de même que la question de la jeunesse, restent en toile de fond, « ce qui est sûr, c’est une volonté claire d’enrichissement ».